Groupes de travail

Escap est un projet collectif qui rassemble des expert·e·s académiques et de terrain dans le but de partager et de co-construire des connaissances et des outils en faveur du développement de l'économie sociale.

Pour accomplir sa mission, escap coordonne chaque année des groupes de travail qui apportent un soutien au développement des entreprises d’économie sociale sur le territoire, ainsi que des réponses à leurs défis quotidiens par la co-construction de connaissances et d’outils pratiques.

Qu’est-ce qu’un groupe
de travail escap ?

Un groupe de travail escap rassemble pendant un an des expert·e·s aux profils diversifiés (entreprises, fédérations, recherche, enseignement, etc.) qui veulent contribuer au développement de l’économie sociale en partageant et en co-construisant des connaissances et des outils. Un groupe de travail escap se caractérise par :

→ Un objectif de transfert et / ou de co-construction d’outils et connaissances en faveur du développement de l’économie sociale
→ La production d’un livrable utile à l’économie sociale après 1 an
Une composition d'une dizaine d'expert·e·s académiques et de terrain
Une durée de 1 an (renouvelable sur candidature)
→ U
n budget validé par le comité de pilotage

Programmes des groupes de travail

Programme de 2020-2023

GT │ Genre et diversité dans les entreprises d'économie sociale

Leur objectif

Les données statistiques sur les enjeux de diversité (y compris de genre) dans les emplois de l’économie sociale sont actuellement manquantes – notamment en comparaison d’autres pays. Ce manque crée un « angle mort » qui entrave la compréhension et la prise en compte des enjeux d’inclusion, ainsi que la mise en œuvre et l’évaluation de politiques d’inclusion – que ce soit au niveau des structures employeuses de l’ESS ou des agences-conseil accompagnant ces structures. La recherche est également en manque de théorisation du lien « genre – ESS ».

En 2022-2023, ce GT a procédé à un état des lieux des statistiques existantes sur différents aspects de la diversité. Il a également réalisé des premières analyses sur le secteur de l'économie sociale en utilisant des données du Data Trust disponibles à l'Observatoire de l'économie sociale.

En 2023-2024, le GT a pour objectif de mener des analyses plus poussées sur davantage d'aspects de la diversité (âge, genre, origine/nationalité, niveau d'étude, situation de handicap,...), par l'introduction d'une demande de données à la BCSS.

Les membres

Augustin Morel-ConcertESClaire Chevrier-UNIPSOCoralie Helleputte-UCLouvainElise Lay-UNIPSOElodie Dessy-ULiègeFlorence Degavre-UCLouvainJoëlle Tétard-CredalJulie Failon-ESCAPZoé Marlier-ULiège

Contacter la coordinatrice du GT : coralie.helleputte@uclouvain.be

GT8│Identification du personnel à la mission de son organisation d'économie sociale

Leur objectif

S’assurer de l’adhésion du personnel salarié et/ou bénévole à la mission organisationnelle n’est pas aisé pour les organisations d’économie sociale. Beaucoup éprouvent des difficultés en gestion des ressources humaines.

Dans les organisations qui combinent une mission sociale avec une activité commerciale ou des objectifs financiers, les travailleurs peuvent avoir du mal à s'identifier à cette identité hybride. Cela peut alors entrainer un faible engagement de leur part et une faible satisfaction au travail. Quel type de profil les entreprises sociales devraient-elles recruter afin de favoriser l'identification organisationnelle ? Faut-il privilégier des personnes qui ne sont pas encore socialisées aux valeurs organisationnelles ? Faut-il uniquement recruter des profils plus « sociaux » ? Ces questions sont d’autant plus cruciales que les organisations d’économie sociale sont de plus en plus poussées à adopter des pratiques de gestion des ressources humaines dérivées du secteur à but lucratif.

L’objectif général du GT8 est de comprendre comment favoriser l’identification du personnel  à la mission de leur entreprise sociale.

Le GT8 confrontera le processus théorique déjà élaboré à la réalité de terrain des entreprises sociales. Il mettra en avant pour les acteurs de terrain en économie sociale :

  • l’importance de la formulation de la mission en matière de GRH
  • les stratégies à mettre en place pour favoriser l’adhésion du personnel
  • les dilemmes entre objectifs sociaux et économiques
  • les difficultés à combiner personnel salarié et bénévole
  • le processus d’identification à la mission

 

Les membres

Cécile Godfroid-UMonsCharlotte Moreau-ULiègeFrédéric Clerbaux-UNIPSOJulie Failon-escapMarc Labie-UMonsOrville Pletschette-SmartVirginie Dewulf-Coop IT Easy

GT7│Cadre juridique du volontariat en coopérative

Leur objectif

Les entreprises coopératives sont le véhicule privilégié d’entrepreneurs sociaux désireux d’expérimenter de nouvelles formes de réponse aux défis sociétaux et environnementaux contemporains. Souvent innovantes, ces approches débordent parfois les cadres légaux et évoluent dans une certaine insécurité juridique.

C’est le cas du recours au volontariat par de nombreuses coopératives récentes d’économie sociale, que les coopérateurs désirent soutenir par une participation effective aux activités. Cette pratique à vocation coopérative et sociale ne rentre pas dans le cadre légal, en particulier la loi du 3 juillet 2005 relative aux droits des volontaires qui ne vise que les "organismes sans but lucratif". Or, au regard du droit, les coopératives ne sont pas de tels organismes sans but lucratif. La viabilité de ces nouveaux modèles coopératifs est donc menacée à défaut d’un cadre légal adapté.

Le GT7 poursuit 3 objectifs principaux :

  • clarifier les conditions juridiques dans lesquelles des personnes peuvent soutenir de manière non-professionnelle l’activité des coopératives ;
  • informer adéquatement les coopératives et les bénévoles et leur faire des recommandations ;
  • identifier les obstacles légaux à ce type d’innovation coopérative et argumenter auprès des administrations concernées.

Les membres

Ariane Debor-Step EntreprendreBenoit Simonet-PropagESCaroline Ker-FebecoopFrédéric Dufays-ULiègeJean-François Azeglio-Trois maraichersJohan Van Hoye-OufticoopJulie Failon-escapJulien Prevot-REScoopMartin Raucent-BEES coopSabine Garroy-ULiègeThérèse-Marie Bouchat-Paysans Artisans

Contacter la porteuse du projet : julie.failon@uliege.be

GT6│Renforcement de la pertinence des enseignements en économie sociale

Leur objectif

Aujourd’hui, les entreprises d’économie sociale représentent 390.000 équivalents temps plein, soit 1 emploi sur 8. Autrement dit, un·e étudiant·e diplômé·e sur 8 travaillera dans ce secteur. Puisque ces entreprises, leurs particularités organisationnelles et les valeurs sur lesquelles elles reposent constituent une réponse face aux nombreux enjeux sociaux et environnementaux auxquels notre société est confrontée, il apparait essentiel de pouvoir former les étudiant·es à ces modèles d’entreprises et, plus largement, au secteur de l’économie sociale.

Ces dernières années, différentes initiatives ont émergé en ce sens. Plusieurs établissements d’enseignement supérieur (université et hautes écoles) ont créé des cours et des programmes autour de questions liées (de près ou de loin) à l’économie sociale. Les acteurs du secteur ont développé des outils de sensibilisation, notamment à destination des jeunes. Néanmoins, toutes ces initiatives sont peu structurées et les enseignant.e.s et formateur·rices intéressé·es n’ont pas toujours une vision d’ensemble de ce qui existe déjà et de ce qui manque. Par conséquent, le risque de saupoudrer les énergies et de réinventer la roue est grand.

Le GT6 avait pour objectif de travailler au renforcement de la pertinence des enseignements en économie sociale par l’expertise croisée de la recherche et du terrain.

Pour atteindre cet objectif, 4 phases de travail ont été organisées : un état des lieux de l’enseignement en économie sociale ; une analyse de l’offre d’enseignement et des opportunités de collaboration pour la renforcer ; la mobilisation de savoirs et de ressources existantes ; et le développement d’un plan d’action collectif.

Trois livrables ont ainsi été produits par le GT6 au cours de cette année :

  • Un recensement de l’enseignement en économie sociale dans les universités et hautes écoles en Fédération Wallonie-Bruxelles.
  • L’organisation d’un séminaire à destination des enseignants de l’économie sociale, le 3 octobre prochain visant d’une part à permettre aux enseignant·e·s de se rencontrer et d’élargir leur réseau académique « économie sociale », souvent dispersé ; et d’autre part à faciliter le renforcement collectif entre enseignant·e·s par l’échange de pratiques et de ressources.
  • La rédaction d’une carte blanche à destination des équipes rectorales, des doyen·ne·s des facultés de gestion et des directeur.rice.s de hautes écoles en FWB, suite aux constats posé par l’état des lieux des enseignements en économie sociale. Ce plaidoyer pointe l’absence de cours en lien avec l’économie sociale dans les premières années de bac des cursus d’enseignement supérieur, argumente la nécessité de renforcer l’offre et propose des pistes d’amélioration.

Les membres

Arpigny Lola-escapBolly Catherine-ConcertESDe Préval Cécile-UNIPSODessy Elodie-ULiègeGabriel David-HelmoJehin Adrian-ConcertESSprimont Marie-InitiativESVassen Sophie-UNIPSO

Découvrir les productions du groupe

Contacter la porteuse du projet : edessy@uliege.be

GT5│Collaboration entre financeurs issus de l’économie sociale dans le financement des projets d’ES

Leur objectif

Pour répondre à leurs besoins de financement, les entreprises sociales s’adressent à des banques classiques, mobilisent du financement direct par les citoyens ou s’orientent vers des organismes de financement privés ou publics qui leur apportent des fonds sous forme de prêts ou de prises de participation. Parmi ces organismes, les financeurs solidaires affichent une proximité avec les modèles d’économie sociale parce qu’ils sont eux-mêmes des entreprises sociales et/ou parce qu’ils financent principalement les entreprises sociales.

Pourtant, l’offre de financement de ces financeurs solidaires est aujourd’hui peu connue, peu regroupée et peu lisible. De plus, cette offre est mé-connue : elle est parfois perçue comme plus chère, moins flexible et moins sur-mesure, moins diversifiée. Les entreprises d’économie sociale recourent de facto peu à cette offre. Or, ces sources de financement peuvent s’avérer essentielles pour le financement de certains projets et il y a un vrai gap à combler pour le financement des projets difficiles (innovants, risqués, grands, peu rentables par nature).

L’objectif général du GT5 est d’améliorer le financement des entreprises sociales en renforçant le positionnement et la visibilité de la proposition de valeur des financeurs solidaires.

Au cours de l’année 2021-2022, le GT5 a mené deux actions courtes de recherche. D’une part, il a étudié l’offre de financeurs issus de l’économie sociale et/ou finançant (ou visant à financer) principalement des entreprises sociales en Wallonie et à Bruxelles. D’autre part, il a procédé à une analyse de la perception de cette offre par les entreprises à travers une analyse quantitative menée par Financité et une analyse qualitative réalisée auprès d’un échantillon restreint d’entreprises sociales.

Pour cette seconde année de travail, le GT5 vise :

  • le positionnement et la construction d’une stratégie commune aux financeurs solidaires sur base des livrables produits en année 1 et d’une analyse de l’offre des financeurs classiques ;
  • un travail d’argumentaire sur la plus-value d’un financement par un financeur solidaire ;
  • l’organisation de rencontres rassemblant les financeurs solidaires et les entreprises d’économie sociale.

Les membres

Amaury Meyers-FinancitéAnnika Cayrol-FinancitéCharlaine Provost-FinancitéColine Serres-ULBFlora Kocovski-W.AlterIsabelle Philippe-CredalJulie Failon-escapMarek Hudon-ULBMathieu de Poorter-UNIPSOSevan Holemans-SolifinSybille Mertens-ULiège

GT4│Développement d’un outil de gestion de la durabilité construit autour des ODD

Leur objectif

Les Objectifs de Développement Durables (ODD) sont partout et s’imposent comme cadre de référence pour évaluer et communiquer au sujet des actions et pratiques des entreprises. Ils peuvent permettre aux entreprises d’économie sociale de démontrer leur avantage comparatif en termes de performances extra financières et de contribution aux ODD, et de gagner ainsi en légitimité auprès de divers acteurs. De leur côté, les entreprises classiques privées, spécifiquement celles d’une taille importante, mettent en œuvre des moyens conséquents pour démontrer leur contribution aux ODD, rendant ainsi les frontières avec les ES plus floues. Alors que les ODD devraient permettre aux entreprises sociales de défendre leur identité propre et leur modèle, les outils existants ne permettent pas de rendre compte des spécificités des entreprises sociales dans leur contribution aux ODD.

Compte tenu de ce constat, l’objectif du GT4 est de rendre compte et de légitimer la contribution des entreprises sociales aux ODD en développant un outil digital mutualisé de gestion de la durabilité (mettant en valeur leur identité et leurs spécificités).

Au cours des deux premières années (2020-2022), ce GT a permis le développement d’une méthode de décomposition du lien entre les ODD (contexte macro) et le contexte des entreprises, la constitution d’un catalogue de 511 leviers d’action traduit à l’échelle d’une entreprise pour améliorer sa contribution aux ODD, et le développement d’une méthodologie d’utilisation de l’outil à destination des entreprises. Ce travail a mené à l’obtention du financement d’un projet de thèse associé à cette thématique.

Pour ce programme 2022-2023, le GT4 a pour objectifs de :

  • tester l’outil prototypé auprès d’entreprises sociales
  • lancer le processus de digitalisation de l’outil
  • adapter l’outil et la méthodologie en fonction des retours du terrain

Les membres

Catherine Bolly-ConcertESCharlotte Moreau-ULiègeClaire Chevrier-UNIPSODavid Bastin-W.AlterJean-Marc Caudron-RessourcesJulie Failon-escapSimon Meert-ULiègeTanguy Ewbank-Ressources

GT3│Participation et concertation sociale : principales tensions et pistes de conciliation

Leur objectif

Le GT3 a été constitué au sein d’escap dans le but d’initier une réflexion collective sur la conciliation entre participation des travailleur·euse·s à la prise de décision et concertation sociale. L’objectif de ce GT est d’ouvrir un dialogue constructif entre acteurs de l’économie sociale et organisations syndicales en ce qui concerne la cohabitation des deux modèles.

Approfondissement des concepts et analyse des divergences

Pour atteindre cet objectif, le GT3 a tout d’abord approfondi les concepts de concertation et de participation. Il a également analysé les principales divergences à l’œuvre, notamment par l’étude de six entreprises d’économie sociale mettant en œuvre des pratiques de participation des travailleur·euse·s et vivant le dialogue social.

Trois états des lieux ont ainsi été rédigés au cours de la 1ère année du GT (2020-2021) : le premier définit la concertation sociale spécifique au secteur à profit social en Belgique ; le second étudie les concepts de participation et d’ESP et propose un outil pratique permettant d’aborder la participation des travailleur·euse·s dans ces entreprises ; le troisième explore les principales tensions et les stratégies de conciliation entre la concertation sociale et la participation des travailleur·euse·s à la prise de décision.

Quatre guides pratiques ont également été produits par le GT3 afin de synthétiser :

  • les arguments expliquant la mise en place d’un modèle de participation en entreprise et les cinq modèles de participation des travailleur·euse·s ;
  • les principales dimensions pratiques qui caractérisent la forme que la participation peut prendre au sein d’une entreprise ;
  • les trois niveaux du dialogue social en Belgique (intersectoriel, sectoriel et en entreprise) ;
  • les principales tensions et stratégies de conciliation entre deux modèles : la concertation sociale et la participation des travailleur·euse·s aux décisions.

Vers un dialogue constructif entre entreprises d'économie sociale et organisations syndicales

La seconde année (2021-2022), le GT avait pour mission d’investiguer les positionnements en présence dans le monde syndical wallon à l’égard des ESP. Ces travaux capitalisent à la fois sur les initiatives déjà menées, tout en intégrant de nouvelles sources d’informations. En ce sens, dix entretiens avec des permanent·e·s ou délégué·e·s syndicaux·ales ont été réalisé·e·s et la revue de la littérature a été complétée et mise à jour.

Ces travaux ont donné lieu à 2 livrables :

  • une synthèse des résultats des deux années de travail du GT3, pour permettre une appropriation facilitée des constats posés par les entreprises d’économie sociale et les syndicats. Cette analyse se concentre particulièrement sur la proposition de pistes de conciliation entre participation et concertation sociale.
  • la co-organisation avec Smart de la deuxième édition du Forum Coopératives et Syndicats « Quelles approches communes », le 24 novembre 2022.

Les membres

Arpigny Lola-escapBuys Antonin-ULiège (HEC Liège)Clerbaux Frédéric-UNIPSOGuisset Anne-KULeuven (HIVA)Jegou Olivier-UCLouvainMatagne Anne-Laure-UNIPSOMoreau Charlotte -ULiège (CES)Roberti Xavier-Groupe TerreSoetens Aurélie-ULiège (CES)

GT2│Diffusion des modèles d’entreprises d’économie sociale auprès des porteur·euse·s de projet

Leur objectif

Pour accélérer significativement le déploiement de l’économie sociale par la création et le développement des initiatives qui s’en revendiquent, il importe aujourd’hui de renforcer la connaissance de ces modèles d’entreprise auprès de différents publics : futur·e·s entrepreneur·e·s sociaux·ales, étudiant·e·s, dirigeant·e·s d’entreprises conventionnelles à la recherche de pistes d’amélioration de leurs propres modèles, décideur·euse·s public·que·s et citoyen·ne·s.

La modélisation d’entreprises sociales (entendue comme la représentation synthétique et simplifiée de l’information) permet une rapide compréhension de ce qui se joue dans ces alternatives. Elle répond à trois grands objectifs : inspirer d’autres projets, expliquer les plus-values de l’économie sociale et capitaliser la connaissance. 

En mobilisant des travaux de recherche et l’expertise des acteurs du financement et de l’accompagnement de l’économie sociale, le GT2 escap a cherché à combler le manque de système d’information satisfaisant sur les choix de gestion posés par les entreprises d’économie sociale et à être force de proposition. Les outils qu’il a développés contribuent à favoriser la réplication d’initiatives d’économie sociale pertinentes, à réduire le temps d’écolage de nouveaux projets, à développer les matériaux pédagogiques disponibles et à donner de la visibilité à l’économie sociale.

Développement d'un outil de modélisation

La première année d’activité du GT3 (2020-2021) a mené au développement d’un outil de modélisation d’entreprises d’économie sociale, à la modélisation d’une entreprise et à la collecte de données vers la modélisation d’autres entreprises.

Deux livrables ont été produits :

  • une étude de terrain de la coopérative Altérez-vous, présentant son business model et les étapes clés de son parcours ;
  • un guide pratique pour accompagner les porteur·euse·s de projet dans la collecte des informations clés lors de la création et du développement de leur projet.

Modélisation d'entreprises d'économie sociale inspirantes

La 2e année de travail (2021-2022), le GT3 a poursuivi 3 objectifs : l’amélioration de l’outil de modélisation, la modélisation d’un plus grand nombre d’entreprises et le développement d’une stratégie de diffusion de ces modélisations.

Les livrables suivants ont ainsi été produits :

  • un plaidoyer en faveur d’une systématisation de la modélisation les entreprises d’économie sociale pour inspirer, expliquer et capitaliser, basé sur 2 ans d’expérience du GT2.
  • une réunion pilote entre acteurs de l’accompagnement de l’économie sociale en faveur de mutualisation et de capitalisation autour des modèles d’économie sociale.
  • un outil de gestion recensant l’information existante sur une cinquantaine d’entreprises d’économie sociale phares

Les membres

Arpigny Lola-escapCardon Patricia-CrédalGabriel David-HELMOHerz Jean-François-SAW-BKocovski Flora-W.AlterLanzi Florence-ULiègeMertens Sybille-ULiègeStokkink Denis-Pour La Solidarité

GT1│Communication sectorielle de l’économie sociale : État des lieux et voies d’amélioration

Leur objectif

L'objectif poursuivi par ce groupe de travail était d'améliorer la légitimité du mouvement de l’économie sociale en travaillant la communication sectorielle.

Pour ce faire, le GT s'est organisé en 3 phases :

Phase 1 : Etat des lieux de la communication sectorielle

  • Entretiens avec 7 acteurs clés de l’ES
  • Historique, enjeux actuels, blocages et perspectives

Phase 2 : Inspiration

  • Entretiens avec 6 fédérations hors ES en Belgique
  • Entretiens avec ESS France et le Chantier de l’ES au Québec
  • Comment ils communiquent + facteurs de succès et défis 

Phase 3 : Lien avec la littérature sur la légitimité de l’ES & analyse des entretiens

Les membres

Huybrechts Benjamin-ULiège (CES)Drugeon Jérôme-W.AlterJehin Adrian-ConcertESArpigny Lola -escap

Envie de vous
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Le projet escap s'adresse à toute personne souhaitant mettre son expertise au service du développement de l'économie sociale. 

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